La collaboration avec l'institution de microfinance hondurienne PILARH ODPF est profondément enracinée. Avec l’aide de BRS, celle-ci a lancé de nouveaux produits d’épargne et un fonds d’entreprise pour les jeunes honduriens.
« En 2018, BRS Microfinance Coop nous a accordé un prêt de 1 million de dollars pour une durée de trois ans. Ces fonds nous ont permis d’octroyer un crédit de 1000 dollars à 1000 clients supplémentaires. »
« Pilarh compte entre-temps 13 000 emprunteurs. Pour financer ces crédits, nous comptons pour moitié sur l’épargne et les ressources propres. Pour l’autre moitié, nous contractons des prêts. En 2018, BRS Microfinance Coop nous a accordé un prêt de 1 million de dollars pour une durée de trois ans. Ces fonds nous ont permis d’octroyer un crédit de 1000 dollars à 1000 clients supplémentaires. Un plus grand nombre de personnes peuvent ainsi améliorer leurs conditions de travail et de vie avec le soutien de Pilarh. »
« Car la vie au Honduras n'est pas facile. La criminalité est très répandue et la violence des bandes de jeunes a un impact considérable sur l’économie locale. Les agriculteurs avec lesquels Pilarh collabore sont confrontés à des défis supplémentaires.
Les producteurs de café ont ainsi vu leurs revenus diminuer ces derniers mois en raison de la baisse des prix du café. Cela a évidemment un impact sur le remboursement de leurs crédits. Même les producteurs qui remboursent en temps et en heure depuis des années rencontrent des problèmes. Il arrive parfois qu'ils abandonnent leurs cultures sur les champs parce que cela leur coûte moins que s'ils les récoltaient.
Les petits agriculteurs qui cultivent des pommes de terre et des fraises sont eux aussi en difficulté. Sous l’effet du changement climatique principalement, des pluies abondantes ont entraîné une baisse des récoltes et de la qualité. Ils essaient eux aussi de survivre. »
« Pilarh n’abandonne pas ces agriculteurs à leur sort. Nous recherchons des solutions avec eux. Nous adaptons les durées des crédits, nous rééchelonnons les dettes et nous adaptons autant que possible nos produits et nos activités opérationnelles en fonction de leur processus de production.
Les moyens supplémentaires de BRS Microfinance Coop nous procurent davantage de marge de manœuvre sur ce plan. Car bien entendu, nous devons aussi veiller à la santé financière de notre portefeuille de crédits. De plus en plus d'institutions financières se retirent du secteur agricole. Nous trouvons cela particulièrement regrettable. Cette situation a toutefois un avantage : elle nous donne la possibilité d’augmenter la part de marché de Pilarh. Grâce à notre loyauté envers nos clients, nous faisons réellement la différence à présent. »
« Comme auparavant, la collaboration avec BRS ne se limite pas à l’aspect financier. Nous examinons également de quelle manière nous pouvons optimiser les ventes et améliorer nos produits. Ce constat s’applique certainement aux assurances que nous proposons depuis plusieurs années. Grâce à BRS, nous espérons professionnaliser davantage ce volet afin de proposer des assurances optimales à nos clients.
Pilarh est donc sans cesse confrontée à de nouveaux défis. C’est une bonne chose, car ils nous font grandir et nous renforcent. J’apprends donc chaque jour quelque chose de nouveau après 20 ans. Et franchement, cela me plaît. C’est aussi pour cette raison que j’aime Pilarh. »
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À coup sûr, quelque chose qui a un lien avec le café. René Banegas, CEO de Pilarh, a rendu visite à Brésor, l’entreprise de café de Paul Van Himst. Pilarh compte de nombreux producteurs de café parmi ses clients.